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Mise à jour : 9 décembre 2010        Infos sur le forum de bricolage
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#700Question Bricolage : Application garantie décennage pour cheminée
Bonjour,
Il y a cinq ans, j'ai fait appel à un professionnel pour la pose d'une cheminée insert en complément de mon chauffage électrique. Après huit ramonages, effectués par mes soins dans la plus stricte application des règles édictées sur mon contrat de vente, j'ai eu la désagréable surprise de constater que mon conduit de cheminée est déboité. La partie concernée se situe dans la hotte et n'était pas visible ; le tubage semble trop court et l'emboitement entre chaque élément peu solide. Ayant un doute sur la qualité du travail effectué par l'entreprise il y a cinq ans, je me tourne donc vers elle pour faire appliquer la garantie décennale. En réponse à mon appel, la société m'envoie un formulaire me précisant leur tarif horaire, m'indiquant qu'un de leur technicien (et non un expert ?) viendra vérifier à qui incombe la responsabilité et me demande d'envoyer un chèque correspondant à 50% du déplacement et main d'oeuvre avec le retour du courrier signé "bon pour accord" qu'elle me remboursera uniquement si le technicien reconnait une malfaçon au montage. Etant donné que le ramonage est une mesure de sécurité essentielle pour les assurances en cas d'incendie, je m'interroge sur le fait qu'un conduit puisse se déboîter en ramonant et que ce type d'incident, qui peut avoir des conséquences tragiques, ne soit pas pris plus au sérieux par les entrepreneurs en appliquant plus promptement la garantie décennale. Si quelqu'un peut me fournir des éléments de réponse quant aux devoirs de l'entreprise vis à vis d'un particulier en cas de litige, me dire si le courrier que j'ai reçu est cohérent vis à vis de mes attentes et enfin qu'elles sont les démarches que je dois entreprendre pour me faire entendre par la société. Merci par avance pour vos différentes réponses.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
envoyez-lui déjà une lettre recommandée avec photo à l'appui.
En revanche, n'envoyez pas d'argent avec son courrier douteux.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour, notre ami JF vous donnera les mesures juridiques mais sachez que le ramonage doit être fait par un PRO avec certificat et que vous risquez hormis les assurances maison de voir l'installateur se retourner contre vous car vous ne devez pas faire vous même le ramonage.
G. B.

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Je crois que vous pouvez faire appel au tribunal d'instance le plus proche de la société pour demander "une injonction de faire". J'en ai déjà entendu parler mais je ne connais pas toute la procédure.

Réponse (4) d'un internaute à cette question

Bonjour,
La procédure évoquée par l'internaute (3) pourrait effectivement convenir, elle est en effet prévue quand un professionnel avec lequel un contrat a été passé refuse de l'honorer. ceci dans le cas où la prestation non effectuée ne dépasse pas 10.000 €.
Il faut, pour la déclencher, faire une requête écrite au greffe du tribunal d'instance de la résidence du professionnel ou de celle du demandeur.
Ceci dit, je m'interroge sur la mise en œuvre de cette procédure, car dans ce cas précis, le professionnel ne refuse pas. Simplement, si je peux dire, il conditionne son intervention à la signature d'un contrat accompagné du versement d'arrhes s'élevant à 50% de la prestation de diagnostic !
Pourquoi pas, après tout ? Ce n'est pas commercial, mais aujourd'hui tout le monde "gratte" ses centimes. Mais le versement d'arrhes est bien encadré par la loi (art. 114-1 et 131-1 du code de la consommation par exemple).
Le risque, c'est seulement, comme l'a fait remarquer G. B. (cordial bonjour au passage) que votre professionnel risque de dire que vous avez fait, dans son beau conduit tout neuf, des opérations de ramonage à la hussarde. Et là, vous aurez du mal à vous défendre... Mais ce n'est qu'un risque... Une possibilité, ce serait de faire intervenir votre multirisques habitation, elle aura peut-être une autre approche vers votre installateur...
Cordialement. JF

Réponse (5) d'un internaute à cette question

Un grand merci à vous quatre pour vos réponses. Je constate que JF est très pointu quant à l'aspect juridique. C'est vraiment très sympathique de sa part de partager son savoir. Je vais donc partir sur le principe de la lettre recommandée dans un premier temps et je verrais bien ce qu'il adviendra.
JL

Réponse (6) d'un internaute à cette question

Merci à vous, JL. Bon courage pour vos démarches. Nous suivrons avec intérêt le dénouement de votre affaire, que nous espérons positif pour vous. Cordialement. JF

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#699Question Bricolage : Dégradations vétusté et autres impossible de récupérer la caution
Bonjour,
J'ai déménagé le 10 novembre 2008 et j'ai fait un état des lieux le 27 novembre 2008.
J'habitais dans cet appartement depuis 12 ans. Il y a donc eu des dégradations en plus de 10 ans.
A notre entrée, le propriétaire ne nous a pas fait réaliser d'état des lieux (à l'époque, jeune et insouciant, aucune question ne s'est posée).
Mais lors de l'état des lieux sortants, nous avons eu pas mal de problèmes.
Tout a été noté et impossible de prouver que cela était déjà comme ça en 1997.
De plus, notre ancien propriétaire est décédé en juin 2008 donc... Au jour d'aujourd'hui, soit le 20 mars, je reçois un courrier de la régie nous annonçant que nous devons une certaine somme qui est supérieure à la caution.
Mes questions :
- est-ce qu'il y a un délai à respecter pour nous demander de payer ?
- est-ce que nous pouvons vérifier et contester les prix annoncés ?
- est-ce que nous devons rajouter la différence de la caution ?
Merci des vos réponses.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, voir avec l'ADIL de votre département,
A tout moment, pendant ou à la fin de la location, en cas de litige portant sur l'état des lieux, le dépôt de garantie, les charges, les réparations locatives, les normes de décence ou une proposition d'augmentation de loyer au moment du renouvellement du bail, le propriétaire ou le locataire peut saisir, sans frais, la commission départementale de conciliation, dont le siège est généralement à la préfecture ou la DDE, par lettre recommandée avec avis de réception. La commission convoquera les parties et essaiera de trouver un accord.

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#698Question Bricolage : Comment récupérer mes acomptes travaux à refaire
J'ai signé une commande avec un acompte pour la réalisation de pavés décoratifs.
En cours de réalisation j'ai versé un 2° acompte. Mais au démoulage quelques jours après, il s'est avéré que le travail était mal fait.
L'artisan m'a dit qu'il y avait un moyen de rattraper cela. En fait c'était pire.
Après négociations l'artisan a cassé tout ce qu'il avait fait, mais je ne souhaite plus revenir sur le chantier car je lui ai envoyé une lettre recommandée. Comment faire pour récupérer mes acomptes ?
P. S. : Je lui ai bloqué du matériel car je pressentais qu'il ne reviendrait plus.
Merci de votre aide.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Je ne suis pas sûr d'avoir compris : "mais je ne souhaite plus revenir sur le chantier". C'est lui, ou vous, qui ne veut plus poursuivre le chantier ?
Si c'est vous, prudence, regardez les questions où j'ai répondu à cet aspect, en faisant une requête à partir du mot "abandon" par exemple.
Cordialement. JF

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#697Question Bricolage : Rehaussement d'un mur par des parpaings et litige avec le voisin
Bonsoir, il y a 3 ans j'ai entrepris moi-même des travaux de rénovation de mon garage qui ont consisté :
au changement de pente et mise en œuvre d'une nouvelle toiture ainsi que de la charpente, donc nécessité de rehausser le mur non mitoyen mais en limite de propriété avec mon voisin, et réalisation d'un espace atelier au fond de mon garage des fondations au toit.
Pour réaliser ces travaux, je me suis donc rapproché de la mairie et de la DDE qui m'ont confirmé la possibilité de réalisation des travaux envisagés sous simple DT (Déclaration de Travaux), car la surface créée au sol ne dépassait pas les 20 m² brut hors tout et que le rehaussement nécessaire pour le changement de pente de la toiture ne dépassait pas les 4 m de haut en prenant comme référence le niveau du sol de mon garage fini.
Mon " cher " voisin n'a rien dit tout au long des travaux, seulement une seule fois où il a contesté ma DT car selon lui je créais une ouverture directe chez lui alors qu'en fait je posais des pavés de verre pour apporter une lumière naturelle à mon atelier, j'ai donc été contraint de rectifier ma DT qui a été bien sur acceptée car il s'agissait d'une "omission" de ma part mais cela me semblais tellement évident qu'en aucun cas je ne créais une ouverture, mais s'était sans compter sur l'esprit retord de mon voisin.
Donc, mes travaux achevés, un an après, ce même voisin, par l'entremise de son assurance habitation m'envoie un courrier me signifiant que je n'étais pas qualifié pour faire de tels travaux et qu'il avait constaté des malfaçons ainsi que l'apparition de diverses fissures et autre effritement de ma maçonnerie qui mettaient en danger la structure du bâtiment et que celui-ci été devenu une menace pour lui et sa famille, et que par mesure de sécurité il faisait intervenir un expert en bâtiment pour constater les différentes malfaçons et les moyens à mettre en œuvre pour stabiliser la construction.
Me voila donc avec des experts qui sont venus constater les faits et qui me disent que de tels travaux auraient nécessité des plans d'architectes, des calculs de charge par des ingénieurs du bâtiment et qu'il aurait mieux valu que je fasse faire les travaux.
Ce à quoi j'ai répondu qu'à mes yeux j'étais capable de faire ces travaux et qu'à aucun moment dans les démarches que j'ai effectuées pour entreprendre ces travaux il n'est dit que l'on ai besoin de professionnels ni dans les cadres de la DT ni même pour dans celui du Permis de Construire.
Me voila donc, après avoir reçu un rapport d'expertise des experts mandatés de plus de 100 pages, avec une assignation devant le Tribunal d'Instance pour comparaitre afin de me voir obligé de faire des travaux pour un montant estimé de 7500€ (par des professionnels).
Car il y a des risques supposés sur la durabilité de mes travaux et que malgré l'absence de la moindre fissure actuellement (bientôt 4 ans), mon voisin veut une "assurance" qu'il ne se passera rien en me faisant faire des travaux qui actuellement ne sont nullement justifiés hormis la mise en œuvre d'un enduit sur les parpaings.
A l'heure d'aujourd'hui je ne sais qu'en penser, si comme moi on a des moyen limités, que l'on entreprend des travaux seul pour des raisons économiques et qu'un voisin incapable lui de planter un clou, se décide un bon jour de vous mettre des bâtons dans les roues...
Dites moi SVP, s'il a des chances de voir aboutir sa demande, sinon que puis-je faire hormis déménager afin que celle-ci n'aboutisse pas !
Merci de vos réponses.
Jean Luc
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour Jean-Luc,
C'est un truc de dingue !
Si vous êtes certain d'avoir fait les choses dans les règles de l'art, il faudrait juste avoir assez de fric pour vous payer une bon avocat et un bon cabinet d'experts. Il vous pondrait la contre-expertise démontant point par point les arguments de l'autre cabinet.
Que vous dire ? J'espère qu'un autre internaute aura une idée lumineuse. Moi, je dis qu'il y a des gens que la crise n'empêche pas de prospérer !
Bon courage !
JF

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour, déménager n'aboutira à rien car pour cela je suppose que vous allez vendre et dans ce cas le nouveau propriétaire se retournera contre vous pour vice caché car votre voisin fera poursuivre sa requête.
A vous lire, l'expertise a été faite avant qu'un tribunal vous y oblige ? Si c'est le cas, pourquoi avez-vous laissé entrer des gens chez vous sur la simple demande de votre voisin ? C'est inadmissible.
Si les pavés de verre sont opaques donc pas de vue directe sur le voisin vous êtes dans votre droit, si une ouverture à l'air libre est pratiquée sur le mur en vis à vis de votre voisin même en verre opaque, vous devez condamner l'ouverture tout en conservant le jour.
Ne rien payer, demander assistance judiciaire à votre assureur, qui vous proposera une solution.
Salutations.

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#696Question Bricolage : Litige travaux rénovation salle de bain retard et malfaçons
Bonsoir à tous,
Voici notre cas :
Nous avons démarré début février des travaux de rénovation de salle de bain qui devaient durer 2 semaines (pas de date de fin définie sur le devis... on saura pour la prochaine fois). Cependant, 2 semaines après le début des travaux (déjà 1 semaine de retard prévue) nous avons dit à l'artisan que le carrelage posé n'était pas acceptable (pas aligné, joints de toutes les tailles, écart au niveau du faux plafond, etc.). Il nous l'a accordé et a accepté d'enlever ce carrelage et de le remplacer à ses frais. Seul problème pour nous, les délais se sont rallongés d'encore 2 semaines.
Les travaux depuis avancent très lentement mais nous voyons enfin le bout du tunnel, le seul souci est qu'il subsiste plusieurs problèmes : trous rebouchés dans le carrelage mural suite à des éléments mal posés puis déplacés, carrelage cassé puis raccommodé avec du joint en posant une paroi de douche, carrelage au sol fissuré sous le radiateur et sous les WC, joints dans les coins de la pièce qui commencent déjà à craqueler, carreau d'habillage de baignoire posé un peu en angle,...
Quelles sont nos options ?
Il nous reste 10% du devis initial à régler, mais sommes-nous obligés de payer tant que ces problèmes ne sont pas résolus ?
Vu le retard et les problèmes qui subsistent, sommes-nous obligés de tout payer même si l'artisan règle ces problèmes (ce que je doute qu'il soit capable de faire)?
De plus le remplacement des carreaux abimés impliquerait une commande de carreaux avec un délais de 3 semaines minimum et j'attends un bébé pour dans un mois ! Nous avons fait remarquer les problèmes au cours des travaux mais avions besoin qu'il finisse le gros avant l'arrivée du bébé, déjà plus d'un mois sans salle de bain, ça a été assez difficile...
Merci pour votre aide, si aide il peut avoir !
J&M
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour J&M,
En cas de désordres persistants, vous pourriez retenir une réserve de garantie de 5%, qu'il vous faudra déposer chez un tiers (un notaire par exemple, ou la Caisse des Dépôts). Vous aurez ensuite, à partir de la date de réception, une garantie de parfait achèvement d'un an, et une garantie de bon fonctionnement de 2 ans (robinetterie...).
En revanche, il ne me semble pas possible d'obtenir indemnisation du préjudice lié au retard, le délai n'ayant pas été défini contractuellement.
Bienvenue quand même à votre bébé !
Cordialement. JF

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour JF et merci pour votre réponse
L'histoire continue depuis que j'ai posté ce message.
L'artisan nous a présenté sa facture finale avec une partie "reste à faire" que nous avons refusé de régler tant que son reste à faire n'était pas fait ainsi que les corrections que nous voulions.
Il dit vouloir nous envoyer une autre entreprise pour terminer les travaux et faire donc ces corrections.
Nous n'avons rien contre, en principe, sous deux conditions : régler le premier artisan conformément à notre devis initial et que le deuxième artisan travaille bien (mais comment savoir...).
Les choses s'enveniment un peu et depuis presque une semaine nous n'avons pas de nouvelles.
Entre temps, nous avons aussi remarqué que la baignoire met 45 minutes à se vider (baignoire d'angle 145 cm). Est-ce normal ? J'espère que pendant la durée de la garantie de parfait achèvement d'un an, nous ne découvrirons pas pire encore mais n'ayant plus du tout confiance dans la compétence de cet artisan, j'ai bien peur que cela arrive.
Encore merci pour votre réponse et pour bébé je croise les jambes !
J&M

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour J&M, et bonjour au bébé !
Bien sûr, les nouveaux désordres qui sont apparus sont couverts par la garantie de parfait achèvement.
Il envoie une entreprise pour réaliser à sa place les corrections et le "reste à faire" ? Soyez très vigilants ! Je vous conseillerais d'établir avec ce nouvel artisan un contrat, un peu comme si c'était une nouvelle commande.
Dans ce document contractuel, il faudrait préciser tous les points, les modalités, la qualité voulue pour les reprises, le délai dans lequel ces travaux seront réalisés.
Et surtout préciser à la fois le montant de ce reste à faire et la gratuité des reprises, en indiquant dans ce contrat qu'il s'agit de l'évolution du contrat passé avec le 1er artisan et modifié à sa demande.
Il faudrait spécifier qui (des 2 artisans) prend en charge les garanties légales une fois le chantier terminé.
Enfin il serait bon que ce contrat soit signé pour accord par les 2 artisans. Et par la même occasion solder le premier contrat en cosignant l'annotation qui y fera référence au nouveau contrat qui en est l'évolution.
Faute de ce contrat, vous allez au devant de nouveaux soucis.
Cordialement. JF

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#695Question Bricolage : Entrer dans un logement OPAC et devoir faire les tapisseries
Bonjour,
J'entre dans quelques jours dans un logement OPAC ancien mais lors de l'état des lieux d'entrée j'ai appris que je devais retapisser les murs qui ont été mis à nu par l'OPAC lui-même, les papiers précédents étant très dégradés - l'OPAC me donne un bon d'achat pour les papiers mais je dois faire l'ouvrage moi-même ! Je n'en ai ni le temps ni la compétence - Ce procédé est-il régulier ? Quel recours ai-je ?
Merci de me conseiller.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, si la solution imposée par votre OPAC n'est pas de nature contractuelle, voici une voie de recours possible :
"A tout moment pendant ou à la fin du bail, en cas de litige, le propriétaire ou le locataire peut saisir sans frais, la commission départementale de conciliation, dont le siège est généralement à la préfecture ou la DDE, par lettre recommandée avec avis de réception. La commission convoquera les parties et essayera de trouver un accord."

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#694Question Bricolage : Pose grille aération vue jardin voisin
Bonjour,
Nous projetons d'installer une pompe à chaleur, et pour cela il nous faudra percer notre mur pour y poser une grille de ventilation, cette grille aura vue sur le jardin de notre voisin. A t-on le droit de le faire ou allons nous droit aux ennuis ?
Merci pour vos réponses
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, quel est le rôle de cette grille sur votre PAC ?
G. B.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour,
à priori, le problème des "vues sur la propriété du voisin" est traité par les articles 675 et suivants du Code Civil.
"Art. 676 : Le propriétaire d'un mur non mitoyen, joignant immédiatement l'héritage d'autrui, peut pratiquer dans ce mur des jours ou fenêtres à fer maillé et verre dormant. Ces fenêtres doivent être garnies d'un treillis de fer dont les mailles auront un décimètre (environ trois pouces huit lignes) d'ouverture au plus et d'un châssis à verre dormant. "
Je vous avoue que je ne sais pas comment ça se passe pour une grille de ventilation. A quelle hauteur est-elle, et peut-on voir à travers ? Si c'est le cas, ça pourrait prêter à litige. Merci à un autre internaute qui pourrait nous apporter un complément d'information. Cordialement. JF

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour, une solution qui risque de satisfaire les deux parties : la grille pourrait se présenter sous une forme coudée qui n'offrirait aucune vue sur la propriété de votre voisin.

Réponse (4) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Je suis d'accord avec l'internaute (3), c'est une bonne idée. Toutefois, la réponse à la question technique de G. B. m'intéressa aussi ; -)
Si je peux glisser une petite suggestion : surtout, même étant dans votre "droit", essayez de ne pas le faire "en douce". Vous pouvez présenter votre projet au voisin avant de percer (autour d'un bon verre) pour ne pas le prendre en traitre, ce qui peut le mettre de mauvais poil et le faire gamberger inutilement.
S'il résiste, vous lui démontrez gentiment que vous êtes dans votre droit. Cordialement. JF

Réponse (5) d'un internaute à cette question

Penser au bruit de la ventilation pour votre voisin, une PAC fait du bruit et c'est assez pénible.

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#693Question Bricolage : Découvertes poutres très abimées après achat maison
Bonjour à tous !
Je suis en pleine rénovation afin de transformer une pièce en salle de bains.
J'ai retiré le parquet flottant et l'état du plancher était alarmant. J'ai donc retiré une planche (le long du mur) ou du moins ce qu'il en restait.
La poutre est très abimée et fendue par la pourriture (dans le sens de l'épaisseur).
En dessous de cette pièce se trouve l'actuelle salle de bains et il y a une poutre de soutien sous cette poutre abimée, donc le problème était connu avant la vente de cette maison, et je pensais que c'était pour la déco.
J'ai décidé de nettoyer ma façade nord afin de découvrir les extrémités de mes 10 poutres qui normalement doivent être apparentes pour justement éviter le bois de pourrir.
Donc ces extrémités était bouchées par un enduit pour cacher la misère et ces extrémités sont, elles aussi, très abimées.
Mes questions !
Nous avons acheté cette maison il y a 7 ans et au vu de ces problèmes, qui en étant objectif ont été cachés afin de favoriser la vente, est-ce qu'il y aurait des chances en me retournant vers les précédents propriétaires de me faire indemniser (même 7 ans après) ?
Est-ce que l'assurance habitation pourrait prendre en compte un éventuel dégât quelconque (un peu naif, je sais) ?
Un charpentier pourrait-il me faire un devis ?
Je sais que ce post est un peu long donc je remercie tout ceux qui auront pris le temps de le lire et de me répondre.
P. S : je suis un peu dans la m...
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Je doute que l'assurance prenne en charge quelque chose.
D'autre part, si vous regardez les réponses aux questions 331 et autres similaires, (faites une recherche à partir du mot "authentique" par exemple) vous verrez qu'il y a un grand risque que votre recours pour vice caché n'aboutisse pas. Le rafistolage a d'ailleurs probablement été fait non pas pour cacher avant de vendre, mais parce que le précédent propriétaire s'est trouvé lui-même dans ma m... et qu'il a bricolé pour le moindre coût et le court terme.
En gros, je ne vous rassure pas... mais ce n'est que mon avis personnel. S'il s'avère exact,... nous pourrons nous retrouver dans le forum menuiserie ou maçonnerie, pour envisager les solutions...
Cordialement. JF

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#692Question Bricolage : Fuite suite à installation d'une salle de bains
Bonjour,
Suite à l'installation d'une salle de bains il y a 2 ans, nous constatons depuis quelques semaines que le plafond de notre salle à manger (sous la salle de bains) se fissure et des taches jaunes apparaissent.
De plus, le plancher de la chambre (collée à la salle de bain) se gondole et on remarque des infiltrations d'eau.
Nous avons appelé notre assurance qui nous dit de contacter notre plombier qui a installé notre salle de bains mais celui-ci fait la sourde oreille, que faire ?
Et s'il vient, est-ce à lui de prendre en charge la réparation ? Sachant que l'assurance ne couvre que la recherche de fuite et la remise en état mais pas la réparation.
Quels recours pouvons-nous avoir ?
Merci pour votre aide.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Le recours, c'est la garantie de bon fonctionnement dans les 2 ans qui suivent la réception des travaux. Vous dites "il y a 2 ans", ça va donc se jouer serré ! Faites vite une mise en demeure par LRAR à votre plombier, il fait peut-être la sourde oreille pour laisser le délai expirer ?
Cordialement. JF

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#691Question Bricolage : Location pavillon chaudière à gaz a eu une fuite qui est responsable
Bonjour. Je viens d'emménager dans un pavillon, en passant par une agence.
La chaudière à gaz a eu une fuite. Les pompiers ont dû intervenir.
L'agence est-elle responsable ? Merci pour votre aide.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Oui, car votre bailleur a l'obligation de vous assurer la "jouissance paisible" de votre logement.
Un accident comme celui dont vous avez été victime n'était -je l'espère-, pas prévisible, dans le sens où avant de vous accorder cette location, le bailleur a dû vérifier que le calendrier d'entretien de la chaudière était à jour.
Mais les frais générés par cette défaillance n'entrent pas dans les "menues réparations" et sont donc à sa charge.
Vous pouvez également vous appuyer sur votre assurance multirisques pour déterminer la conduite à tenir.
Cordialement. JF

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonsoir, on suppose qu'il s'agit d'une fuite de gaz sans incendie, dans ce cas pourquoi avoir fait appel aux pompiers ? Vous ont-ils fait remarquer qu'un plombier était plus qualifié pour ce genre d'intervention ?
Car une fuite de gaz est détectable, maîtrisable, il suffit d'aérer et de fermer le compteur du coffret d'alimentation. Cordialement.

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#690Question Bricolage : Chaudière condensation Viessmann 200 gaz perd un litre eau par jour
Bonjour.
Ayant fait installer une chaudière Viessmann 200 le 12 Déc. 2008 , elle fuit depuis...
J'ai en vain fait maintes réclamations : l'installateur fait le mort même après une mise en demeure par lettre Recommandée Accusée Réception.
Je pense, qu'installée sous une cheminée à ciel ouvert, il fallait tuber la cheminée ou fermer par un conduit en forme d'entonnoir pour éviter que la condensation ne redescende en gouttelettes le long des parois et dans la chaudière...
Le poseur est certainement de mauvaise foi, il a fait payer : 1 adaptateur tube coaxial pour raccordement sur tuyaux PPS et 1 tuyau PPS pour évacuation par cheminée et accessoires pour 565 € et une pose globale (dont certificat de conformité) pour 750 €.
Total de la pose et fourniture de chaudière : 4.538,61 €.
La lettre que j'ai envoyée lui promettait expert et voie de justice, sans réponse au 1er Mars.
Je vais agir , mais que peut-on exiger ? Merci de votre réponse.
P.S. : je signale que j'ai 80 ans, que je suis seule, que j'ai pris des cours d'informatique et que j'essaie de me débrouiller (!!!), mais on essaie de me rouler...
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour Madame.
Tout d'abord, il faut faire constater ce défaut par huissier ou expert.
Ensuite, vous vous rendez au greffe du Tribunal d'instance de votre domicile pour saisir le juge par la voie de la "requête déposée ".
On vous fournira à cet effet un formulaire à remplir.
Dans votre requête vous préciserez que vous sollicitez du juge une ordonnance d'injonction de faire assortie d'une astreinte, le tout sur le fondement de l'article 1792-6 du code civil et en application des articles 1425-1 et suivants du nouveau code de procédure civile.
En principe, vu votre âge, le greffier devrait vous aider à remplir ce formulaire. Surtout, n'oubliez pas d'apporter tous les documents dont vous disposez (devis, facture, copie de la mise en demeure, constat, etc.).

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Merci d'avoir répondu à ma question au point de vue juridique. Mais au point de vue technique, qui va tuber une cheminée sur environ 7 mètres ? Je suis propriétaire de mon appartement situé au 1er étage d'un immeuble de 2 étages plus les combles.
Qui paiera. ? Le devis a été fait chez moi par un commercial (je l'ai su après) et je n'ai vu aucun technicien avant la pose faite par un jeune ouvrier peu expérimenté. Si vous recherchez le site internet de Viessmann, chaque futur installateur doit signer une charte s'engageant à satisfaire son client au maximum.
J'ai trouvé tout le texte de cette charte en cherchant les chauffagistes Viessmann de ma ville. " je soussigné... m'engage à respecter les règles énoncées ci-après pour mieux vous servir et répondre à tous vos besoins, avec le soutien de Viessmann. " etc...
Merci de m'en dire plus. Internaute 690

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour, au vue de votre seconde question il serait opportun de vous adresser au constructeur Viessmann pour lui signaler votre mécontentement vis à vis de ce chauffagiste, les marques renommées réservent des exclusivités de pose et d'entretien avec certains chauffagistes, il serait bon que ce constructeur puisse vous soutenir et intervienne auprès du chauffagiste pour ne pas altérer son image de marque.
Concernant le tubage obligatoire ou non de votre conduit de cheminée, je n'ai pas la compétence pour vous répondre, peut-être que GB, notre référent en chauffage, pourra le faire et dans le cas d'une réponse positive, le chauffagiste pourrait être poursuivi pour ce manquement à la sécurité.
Autre solution, s'il s'agit d'une chaudière alimentée au gaz naturel, il existe dans chaque département un conseiller GDF qui mesure les qualités des installations réalisées par les chauffagistes et cet agent connaît parfaitement les normes d'installation, joignez-le, posez-lui la question et tenez-nous au courant. Bon courage.

Réponse (4) d'un internaute à cette question

Merci pour votre deuxième réponse, j'ai déjà eu au téléphone un responsable de Viessmann, il m'a promis d'écrire au poseur, mais il m'a dit : ce n'est pas à nous à prendre parti.
J'ai d'autre part donné mon dossier à un avocat ami, avec mon contrat multirisques habitation où figure "assistance et recours" ce qui peut-être m'évitera la mise de fonds d'honoraires d'expert ? ... Je vais à nouveau
téléphoner à Qualigaz, pour poser la question du tubage, d'autant que la totalité de la facture est payée et que l'installateur ne me fait pas parvenir le certificat de conformité.
Pour me dégager, j'ai d'ailleurs prévenu mon assureur (en réponse à votre interrogation, ma chaudière est alimentée au gaz naturel).
Un grand merci de vous occuper ainsi de mon affaire. La suite... à plus tard !

Réponse (5) d'un internaute à cette question

Bonjour, lorsque la correction est justifiée, on dit : bien vu, lorsqu'elle ne l'est pas, peut-on dire : mal vu ?
Je ne sais pas mais apparemment votre correction relève du second cas.
On ne doit pas confondre vu, qui signifie « étant donné » (ex : au vu et au su de..), avec le participe passé vu, vue, du verbe voir ou avec l'expression à la vue.. mais bon nous ne sommes pas sur un forum de langue française, cordialement, réponse3.

Réponse (6) d'un internaute à cette question

Bonjour, pour l'internaute N°5, des conseils utiles sur la question posée auraient été plus judicieux que des conseils de grammaire. Nous ne sommes pas dans une classe préparatoire !
G. B.

Réponse (7) d'un internaute à cette question

Il y a eu visiblement un manque d'information préalable avant l'installation.
Maintenant à qui incombe le tubage de la cheminée ? Au chauffagiste qui n'a rien vérifié avant ou au client ?
Merci de donner votre avis.

Réponse (8) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Je ne peux qu'inciter tous les internautes qui ont des problèmes à être obstinés.
Aucune réponse à ma lettre R. A. C, pas plus, à la mise en demeure de mon avocat.
Mais celle-ci a flanqué une bonne frousse au chauffagiste !
Résultat : ce matin un couvreur est venu exécuter un tubage de cheminée aux frais du chauffagiste, un ouvrier est, en ce moment occupé à faire le raccordement avec la chaudière et l'assurance va payer les dégâts occasionnés par les fuites.
Je vais aussi exiger une extension de garantie à partir de maintenant.
Alors courage, car les récalcitrants, il faut les talonner jusqu'au résultat final !
Et merci à Brico vidéo, vous m'avez bien aidée.

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#689Question Bricolage : Suite tempête pignons tombés sur plancher hourdis
Bonjour.
Suite à la tempête du mois de janvier les pignons de ma construction sont tombés.
Il y en a un qui est tombé sur le plancher hourdis de l’étage, une vingtaine de hourdis sont tombés.
Mon maçon me dit que ça n’a pas endommagé la dalle, je reste sceptique, il ne veut pas faire expertiser celle-ci, il me dit qu'elle n’a pas subi de dommage.
Je veux injecter du béton pour remplacer les hourdis cassés, que dois-je faire ? Auprès de qui ou quelle organisme puis-je me renseigner ? Merci d’avance. Cordialement.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, si vous avez fait une déclaration de sinistre auprès de votre assureur, c'est ce dernier qui vous enverra un expert qui jugera de la suite à donner et des travaux à entreprendre.
G. B.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour.
D'accord avec réponse 1.
De plus, d'une manière générale, évitez d'utiliser des matériaux dans d'autres situations que celles prévues par le fabricant.
Ici, les poutrelles supportant les hourdis sont-elles dimensionnées pour recevoir du béton beaucoup plus lourd ? Normalement, la structure classique d'un plancher comme celui-ci est : poutrelles, hourdis et dalle de compression armée (treillis ST10 lié aux poutrelles + chapeaux là où c'est nécessaire).
La construction, ce n'est pas du Lego.
Si les hourdis ont cédé, c'est que la dalle de compression elle-même doit être dans un sale état.
Donc, oui, encore une fois, faites venir votre expert en assurance ou à défaut, plusieurs entreprises pour devis (ça permet parfois de repérer les incompétents. Ils existent mais il ne faut pas en faire une parano).
P. M. Artisan des Bouches du Rhône.

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#688Question Bricolage : Besoin de votre aide litige avec garantie décennale
Bonjour,
Tout d'abord bravo pour votre site il est très bien.
Je souhaiterais vous posez une question, notre pavillon a été construit en 2000 déjà, depuis 2007 j'ai envoyé un courrier au constructeur pour lui signaler des fissures sur les pignons droit et gauche, ils m'ont répondu de m'adresser à l'entreprise qui a fait les travaux, mais jamais personne n'est venu, j'ai contacté l'assurance pour la garantie décennale et elle me renvoie vers l'artisan qui a fait l'enduit, que faire, existe-t-il un organisme qui puisse m'aider ? Merci.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour. Votre question appelle des précisions préalables :
1/ S'agit-il de fissures susceptibles de compromettre la solidité de l'ouvrage ou bien de micro-fissures inesthétiques ?
2/ Vous parler de constructeur, puis d'entreprise, enfin d'artisan ; ce n'est pas bien clair.
Quels contrats avez-vous passé et avec qui ? A détailler.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Revenons à la base : avec qui êtes-vous lié par contrat concernant cette maison : artisan, entrepreneur ou constructeur ?
Cette entité doit être votre seul interlocuteur, vous ne connaissez juridiquement pas les autres intervenants.
Envoyez, par LRAR, la liste des désordres constatés et mettez en doute la solidité du bâtiment afin de faire déclencher une expertise.
Ne vous attendez pas à des miracles : s'il n'y a pas de danger quant à la solidité de l'ouvrage, ni d'impossibilité d'utiliser les locaux conformément à leur destination, la garantie décennale ne s'appliquera pas et les choses resteront en l'état.
Cordialement.

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#687Question Bricolage : Problème lave vaisselle Brandt modèle aqua safe dfh 510
Bonjour
Mon lave-vaisselle de marque Brandt modèle aqua safe dfh 510 acheté le 25/11/2005 est en panne.
La cause : le module de puissance. Lorsque je le mets en fonctionnement, il démarre normalement et d'un seul coup, il s'arrête et se met en sécurité donc "triangle attention" avec les chiffres 15 et 30 qui sont allumés.
J'ai fait déplacer un technicien du magasin où je l'ai acheté.
1ère visite en date du 15/12/2008, il regarde mon lave-vaisselle et en déduit la panne du module. Donc, il le change par un énième module, le met en marche et s'en va en me faisant payer "160 €".
Moi, je suis censé attendre que le module se reprogramme et soudain ça recommence, il s'arrête et se met en sécurité.
2ème visite en date du 23/12/2005, le technicien regarde mon lave-vaisselle et écrit sur son papier "panne non trouvée".
3ème visite en date du 31/12/2008, le second technicien en déduit que c'est une panne du module, qu'il est défectueux et qu'il faut le changer. Il dit à mon conjoint qu'il faut le commander et repart.
4ème visite en date du 08/01/2009, le premier technicien revient avec le 2ème module commandé, le change et la panne recommence.
5ème visite en date du 09/01/2009, les 2 techniciens viennent regarder l'appareil avec un 3ème module et se rendent compte que ce n'est pas le bon que Brandt a fourni et que la référence a changé. Alors, ils commandent un 4ème module que nous attendons encore...
Bref, j'ai besoin d'aide. Merci de vos réponses.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Si j'étais vous, je flanquerais au directeur de cette noble entreprise, une mise en demeure par LRAR d'intervenir sous 15 jours pour solutionner le problème (en refaisant l'historique précis de tout ce pataquès) sous peine de dépôt de plainte pour "tromperie sur la qualité substantielle du service", conformément aux articles L213-1 et L216-1 du code de la consommation. Par exemple L213-1 :
"Sera puni d'un emprisonnement de deux ans au plus et d'une amende de 37 500 euros au plus ou de l'une de ces deux peines seulement quiconque, qu'il soit ou non partie au contrat, aura trompé ou tenté de tromper le contractant, par quelque moyen ou procédé que ce soit, même par l'intermédiaire d'un tiers :
1° Soit sur la nature, l'espèce, l'origine, les qualités substantielles, la composition ou la teneur en principes utiles de toutes marchandises ;
2° Soit sur la quantité des choses livrées ou sur leur identité par la livraison d'une marchandise autre que la chose déterminée qui a fait l'objet du contrat ;
3° Soit sur l'aptitude à l'emploi, les risques inhérents à l'utilisation du produit, les contrôles effectués, les modes d'emploi ou les précautions à prendre.. "
Dans ce courrier, vous pouvez exiger déjà le remboursement des 160 € payés pour rien !
Vous pouvez faire une copie de de courrier au directeur du service clients de la marque concernée, ça peut lui ouvrir les yeux sur la qualité de son réseau de distribution !
Bon courage ! JF

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#686Question Bricolage : Litige avec le chauffagiste
Bonjour
Nous rénovons une maison depuis trois ans et demi et nous devions refaire tout le chauffage.
Nous avons fait appel à une société de la région, car le gérant passait souvent sur notre chantier pour voir où on en était, bien avant de signer le devis, il nous semblait correct.
Mais voilà, lors de la signature du devis, il nous a dit qu'il avait oublié le double, ce qui fait que nous n'avons toujours pas de devis sous la main.
De plus, il a commencé les travaux en août 2008 avec 2 semaines de retard et depuis, ce n'est toujours pas fini !
En plus, il y a beaucoup de malfaçons et les travaux réalisés ne nous conviennent pas du tout.
Cela fait 2 mois qu'il ne vient pas finir son boulot, nous lui avons laissé 20 messages sur le répondeur et envoyé une Lettre Recommandée pour lui signaler que nous voulions notre exemplaire de devis, son assurance décennale et que nous exigions la fin des travaux pour que l'on puisse enfin emménager... mais il ne se manifeste pas.
Le pire, c'est que nous avons eu notre facture d'électricité il y a 2 semaines et EDF nous réclame 600 € pour 2 mois Alors que la maison est inhabitée (ils disent qu'on a consommé 5600 KwH ?).
Nous pensons que cela vient de la pompe à chaleur que le chauffagiste nous a installé car il ne l'a pas réglé.
Nous sommes vraiment désespérés. Pouvez-vous, s'il vous plait, nous dire ce que l'on doit faire pour trouver une solution ? Merci d'avance.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, pour le problème technique sur la PAC, sans vouloir vous décourager, vous n'êtes pas au bout de vos peines et lorsque vous l'aurez amortie, elle sera à remplacer.
G. B.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Bonjour G. B. , je trouve votre humour un peu noir aujourd'hui ! Vous me faites penser à la blague de Coluche sur le crédit immobilier ("quand le crédit est payé il vous reste les ruines").
Blague à part, il vous faut donc mettre en demeure sérieusement ce garçon, par LRAR, en lui refaisant un descriptif complet, daté, circonstancié, de tous vos ennuis.
Demandez-lui d'intervenir sous 15 jours, sous peine de poursuite en justice. Vous pourrez trouver, en réponse à plusieurs questions plus bas, l'arsenal juridique à citer dans votre courrier. Tromperie sur la qualité d'un service, etc. (Art L213-1 et L216-1 du code de la consommation entre autres...)
Revenez en cas de besoin. Bon courage. JF

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour
Merci pour vos réponses, mais le souci c'est que cette lettre je l'ai déjà faite et je l'ai envoyée au mois de décembre.
Résultat : il est allé la chercher à la Poste au bout de 10 jours et il n'a pas bougé.
Le délai de 15 jours est écoulé et je me suis renseigné auprès de mon assureur pour voir si j'étais assuré en cas de litige si ça devait aller plus loin.
Apparemment, je ne le suis pas donc tout sera à ma charge !
Cordialement.

Réponse (4) d'un internaute à cette question

Bonjour,
1/ Votre lettre, c'était bien une LRAR ? Quelle mise en demeure "sous 15 jours" avez-vous faite ? Et dans cette lettre, vous lui dites que vous ferez quoi en cas de non satisfaction ?
2/ Vous dites que vous avez questionné votre assureur. Pourquoi dites-vous qu'"apparemment" vous n'êtes pas assuré ? Avez-vous un volet juridique à votre multirisques, qui couvrirait défense et recours ?
3/ Savez-vous si votre artisan est en cessation d'activité, ou fait-il le mort seulement pour vous ?
4/ Avez-vous essayé de contacter le fabricant ou l'importateur de votre PAC pour essayer d'en savoir plus, et éventuellement demander un autre intervenant ? (vous êtes encore dans la garantie constructeur, je suppose)
A suivre... Cordialement JF

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#685Question Bricolage : Bassin d'orage troué qui se déverse en partie chez moi
Bonjour
Un bassin d'orage est implanté en limite de ma propriété. Il est en mauvais état, troué par les rats et l'eau s'évacue en partie chez moi. Les copropriétaires du bassin n'étant pas assurés, ils me demandent de me débrouiller avec mon assurance et ne veulent pas faire de travaux afin de résoudre mon problème.
Cela fait plus de trois ans que je subis des dégâts à chaque pluie importante.
Bien que certains copropriétaires aient constaté le problème, ils jouent la carte de la mauvaise foi et me demandent de prouver de manière irréfutable leur responsabilité.
Quels peuvent être mes recours ?
Merci de vos réponses.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
L'article 640 du code civil prévoit que "Les fonds inférieurs sont assujettis envers ceux qui sont plus élevés à recevoir les eaux qui en découlent naturellement sans que la main de l'homme y ait contribué". Il s'agit là d'écoulement naturel, ce qui veut dire, à mon avis, que dans votre cas ce bassin d'orage "artificiel" étant fait pour capter l'eau et non pas pour la déverser chez vous, les propriétaires sont responsables de sa fonctionnalité correcte.
C'est l'article 641 du code Civil : "Les maisons, cours, jardins, parcs et enclos attenant aux habitations ne peuvent être assujettis à aucune aggravation de la servitude d'écoulement dans les cas prévus par les paragraphes précédents. Les contestations auxquelles peuvent donner lieu l'établissement et l'exercice des servitudes prévues par ces paragraphes et le règlement, s'il y a lieu, des indemnités dues aux propriétaires des fonds inférieurs sont portées, en premier ressort, devant le juge du tribunal d'instance du canton qui, en prononçant, doit concilier les intérêts de l'agriculture et de l'industrie avec le respect dû à la propriété. S'il y a lieu à expertise, il peut n'être nommé qu'un seul expert. "
Je pense donc qu'il vous faudrait les mettre en demeure, par LRAR, de faire l'entretien nécessaire sous tel délai que vous définirez, afin de restaurer la fonctionnalité de ce bassin, faute de quoi vous seriez amené à porter l'affaire devant la justice. Le mieux serait que vous ayez déjà des pièces à conviction (photos de débordement pendant les orages, etc.)
Cordialement. JF

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour
Vos voisins font preuve, à l'évidence, de mauvaise foi.
Sur le plan technique, il faudrait évidemment avoir un aperçu de la situation des lieux pour se faire une idée exacte des dommages dont vous êtes victimes.
Au plan juridique, vous devez dans un premier temps, saisir votre compagnie d'assurances, en lui exposant votre problème et en lui demandant la mise en œuvre de la clause "défense et recours" de votre contrat.
Votre assureur tentera en premier lieu un recours amiable et si celui-ci échoue, il désignera un avocat pour s'occuper du dossier en justice.
Cordialement.

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#684Question Bricolage : Que faire pour isoler un appartement de l'humidité
Bonjour, nous sommes un jeune couple propriétaire d'un appartement en rez-de-chaussée, à l'achat il n'y avait rien de visible, mais voilà qu'un an plus tard nous apercevons des taches d'humidité qui décollent le papier peint, voire même réapparaissent aux endroits où j'ai repeint d'une peinture pour isoler de l'humidité...
Un technicien a été envoyé par notre syndic de copropriétaires et ce dernier nous a dit que cette manifestation d'humidité est dû à la condensation et qu'il voit beaucoup d'appartements dans notre ville atteints du même problème.
Il nous a expliqué que c'était les appartements datant d'avant 1982 qui présentaient ces problèmes et qu'il fallait installer une "pompe" d'aération sur la terrasse de l'immeuble.
Mais, de toute évidence, aucun habitant de l'immeuble ne veut dépenser de l'argent dans cette installation (il paraît que ça coûte très cher) et en attendant notre appartement s'abîme de plus en plus.
De plus, nous avons une colonne d'aération (obsolète de toute évidence) commune dans cet immeuble et ce technicien nous a dit que nous n'avions pas le droit d'installer un VMC car cela pourrait faire remonter notre humidité chez les voisins du dessus (ce que nous ne voulons pas bien évidemment).
Que faire ? Pouvons-nous installer ces petites aérations que l'on voit en haut des fenêtres des appartements plus récents ? Mais cela suffira-t-il ? (le technicien ne nous a même pas conseillé de le faire).
Merci d'avoir pris le temps de me lire, si quelqu'un avait une réponse cela nous aiderait vraiment ! Merci d'avance.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Cette question ayant été posée aussi dans le forum maçonnerie, il y a des réponses là-bas (Q33302). JF

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#683Question Bricolage : Non reconstruction d'un toit de garage dans une copropriété
Bpnjour. Je vais acheter 3 garages dont 2 contigus qui ont eu le toit détruit par un incendie. les poutres en métal (support de l'éverite) sont intactes, mais l'éverite a éclaté et des vandales ont fini la destruction. Quels délais ai-je pour réparer le toit, étant donné que mon vendeur m'a dit que cela était arrivé il y a 1 an et demi ?
Un des garages est mitoyen avec une autre personne, je compte protéger ce mur mitoyen par une bâche plastique et me servir de ce garage à ciel ouvert comme serre d'amateur, donc ne pas faire les travaux. Ce garage est dans une copropriété de garages, il y a plus de 10 ans qu'il n y a plus de conseil syndical ni syndic. Est-ce possible de laisser les choses dans l'état vis à vis de la mairie étant donné qu'il n y a aucune pollution visuelle et que ça ne porte atteinte à personne ? Merci.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Si vous faites une finition correcte, et qu'il n'y a pas de risque d'infiltration dans le garage voisin, pourquoi pas ? la verdure est toujours plus sympa et plus saine que le béton. Vous n'avez même pas de permis de démolition à demander, puisque le mal est fait. Vous pourriez contacter le service d'urbanisme de la mairie qui vous donnera son avis. Cordialement. JF

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#682Question Bricolage : Bruit dilatation chauffage problème de voisinage
Bonjour, je vous explique la situation :
Je suis propriétaire d'un appartement depuis le mois de juin 2008.
Dès le début de l’hiver, un problème majeur est apparu, je suis dérangé très régulièrement par des bruits de délation de mon voisinage.
J'ai alerté le syndic (l’organisme gestionnaire) et le syndicat de la copropriété.
Ne voyant pas d’effet à mes alertes successives (orales et écrites), j’ai décidé d’envoyer un courrier recommandé avec AR mais sans changement d’attitude. Merci d’avance pour votre aide.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

La délation n'a rien à voir avec le chauffage !

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour, la délation étant l'acte de dénoncer quelqu'un, je ne vois pas le rapport avec les bruits du voisinage ?
G. B.

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Vous n'avez pas de chance, la délation se fait généralement profil bas, dans une grande discrétion... S'agissant de problèmes de voisinage liés à des nuisances sonores, le problème est un peu en dehors des thématiques de nos forums.
Si vous avez alerté en vain les délateurs concernés, la démarche que vous avez tentée auprès de votre syndic est une solution. Vous en avez d'autres, par exemple alerter le commissariat de police. Mais, s'il s'agit de nuisances diurnes, il risque de se faire tirer l'oreille pour venir la tendre chez vous...
Bonne chance. JF
Réponse de Bricovidéo :
Erratum : lire dilatation en lieu et place de délation.
Bonjour,
en effet, la délation n'a aucun rapport avec le chauffage. Nous avons laissé passé une erreur, en effet à la question 682 il faut lire "dilatation" et non "délation".
Cordialement, Audrey, modératrice du forum litiges travaux.

Réponse (4) d'un internaute à cette question

Bonjour
Je suis plié de rire, Audrey ! J'adore ce genre de méprise !
Je trouve que cela met un peu d'ambiance dans le forum litiges qui est souvent un peu sombre, à l'image des problèmes de nos internautes.
Quant à la "dilatation du voisinage"... qu'est-ce qui peut bien se dilater chez eux ? Que s'est-il passé en juin 2008 ?
JF

Réponse (5) d'un internaute à cette question

Bonjour, en Juin 2008, ils se sont "dilatés la rate" !
G. B.

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#681Question Bricolage : Raccordement au réseau d'assainissement
Bonjour, nous avons un souci avec le raccordement de notre maison au tout à l'égout.
C'est une maison ancienne dont nous sommes propriétaires depuis juillet 2006.
Voici le détail :
Aujourd'hui, on a dû faire appel à un dépanneur pour déboucher la canalisation des WC (qui se bouchait depuis quelques jours).
Pour information, lors de la vente, le vendeur a déclaré que la maison était raccordée au tout à l'égout (cf. extrait ci-dessous). Ce qui sous-entend logiquement "pas de fosse septique"...
Or le dépanneur a découvert qu'il y avait bel et bien une fosse septique en fonction (entre les WC et le tout à l'égout) et sans accès direct au couvercle (il a du creuser 15 cm dans le sol)
Effectivement celle-ci était pleine, et l'évacuation en provenance des WC ne pouvait donc plus se faire correctement...
D'une part, pour les propriétaires qui sont équipés d'une fosse septique (sous-entendu "non raccordés au tout à l'égout"), la vidange de la fosse doit se faire tous les 4 ans.
Or nous sommes propriétaires depuis 2 ans 1/2 seulement.
D'autre part, vu qu'on est raccordé au tout à l'égout (cf. extrait ci-dessous), nous ne sommes pas censés entretenir une fosse (celle-ci n'a pas lieu d'être).
Nous aimerions savoir à partir de ces éléments, et à partir de l'extrait ci-dessous, s'il est possible d'envisager un recours, par rapport aux frais à engager pour le dépannage, ainsi que pour la remise aux normes de l'assainissement (suppression de la fosse).
Dans l'extrait ci-dessous, on comprend à peu près la première phrase, mais c'est plutôt la seconde qui nous paraît louche : comme si le propriétaire et le notaire avaient pris toutes leurs précautions en cas de problème !
Merci de nous donner votre avis, et vers qui pourrions-nous nous tourner (juridiquement parlant).
Merci de votre compréhension.
Pierre
Voicil'extrait de l'acte de vente concernant l'assainissement de notre maison :
"RACCORDEMENT AU RÉSEAU D'ASSAINISSEMENT
Le VENDEUR déclare que la maison d'habitation présentement vendue est raccordée au réseau d'assainissement public et qu'elle n'a fait l'objet d'aucun contrôle technique.
L'ACQUÉREUR déclare en faire son affaire personnelle et renonce à exercer de ce chef un recours contre le VENDEUR, pour quelque cause que ce soit, et s'engage à supporter les frais de mise en conformité et le coût des travaux qui seraient exigés. "
Voir le schéma ici.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonsoir, suite à ma première réponse, votre rejet à l'égout figuré sur votre plan est-il plus bas que les 2 arrivées d'eaux sanitaires et vannes ? Si oui je ne vois pas comment vos colonnes se bouchent ! La pente vers l'égout est-elle suffisante ?
G. B.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour, dans l'attente de la réponse de JF et d'après votre schéma, la fosse septique existante ne sert plus que de bac de décantation et est bien raccordée sur l'égout. Sa capacité étant relativement grande vous avez des dépôts qui ont tendance à obstruer celle ci, vous devez donc de temps en temps la nettoyer. Il est vrai que l'ancien propriétaire aurait du l'abandonner et faire un tabouret plus petit avec séparation des circuits (WC et sanitaire), pour moi il n'y a pas tromperie mais notre Maitre en la matière (JF) vous guidera pour la suite.
G. B.

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour. Voici ce que signifie, en langage courant, la clause que vous évoquez :
1/ Absence de contrôle technique : le vendeur ne garantit pas que l'installation soit conforme à la réglementation.
2/ Affaire personnelle : l'acquéreur ainsi averti, déclare malgré tout accepter la chose telle qu'elle est et s'engage donc à prendre à sa charge les frais éventuels que pourraient entrainer une mise en conformité éventuelle dont la nécessité est aléatoire ;
3/ En conséquence de son engagement à cet effet, l'acquéreur renonce à tout recours contre le vendeur du fait (du chef) de cette installation.
Pour votre information, je vous précise que cette clause est courante et qu'elle ne résulte pas d'une "entente" entre le vendeur et le notaire, celui-ci n'étant pas le notaire du vendeur ou de l'acquéreur, mais le garant de l'équilibre du contrat, c'est-à-dire des parties.

Réponse (4) d'un internaute à cette question

Bonjour à tous
C'est trop d'honneur, G. B. ! Votre analyse "technique" (si j'ose dire, en parlant de ce genre d'emm...) me semble très pertinente.
Quant à l'aspect juridique, un autre Maître a répondu en (3) et rejoint par là ma réponse à la question 165 (entre autres).
Il me semble que l'idéal, si c'est possible en fonction des pentes, serait de faire vider définitivement cette fosse et de faire une connexion directe (via un petit regard adapté) vers votre réseau public... Vous ne seriez plus em.. barrassé.
JF

Réponse (5) d'un internaute à cette question

Bonsoir, voilà quelques infos intéressantes : Aanil.org-achetez-construisez-achat-et-vente-logement-precautions-et-verifications/precautions
De plus certains articles du code civil s'appliquent à votre cas, un vendeur doit communiquer les qualités et les défauts du bien à vendre, apparemment la dissimulation dont le notaire s'est fait le complice volontaire ou involontaire peut faire l'objet d'une plainte au TGI (Tribunal de Grande Instance), vous devriez consulter un notaire (ceux-ci fournissent des renseignements gratuitement) en qui vous auriez toute confiance.
Saviez-vous que vous pouviez vous faire accompagner par un notaire de votre choix, ce qui permet que celui-ci consulte l'acte de vente et sa conformité, sans que pour cela les frais soient plus élevés, les notaires se partageant dans ce cas la commission de la vente, ce qu'ils n'apprécient guère.
Avant la plainte vous pouvez saisir le conciliateur.

Réponse (6) d'un internaute à cette question

Merci internaute (5) pour vos informations très importantes à rappeler.
Notre internaute pourrait d'ailleurs, suivant votre idée, revenir vers son notaire, pour avoir son avis, mais... vous avez dit "notaire en qui vous auriez toute confiance", est-ce le cas ?
L'évaluation du coût de la mise en conformité de l'installation (sur la base des suggestions de G. B.) sera intéressante, au cas où ça pourrait coûter moins cher (en énergie en tous cas) et être plus rapide qu'une action en justice.
JF

Réponse (7) d'un internaute à cette question

Bonjour. Remarques pour internaute n°5 :
Lorsque un second notaire vient en concours (telle est l'expression exacte) les émoluments fixés par décret (et non la commission de la vente) sont partagés entre les deux notaires en fonction d'un barème fixé par la chambre départementale.
En général, sur l'ensemble des actes d'une étude, les concours "s'équilibrent", ce qui, contrairement à ce que vous affirmez, n'a aucune influence sur les recettes de l'étude.

Réponse (8) d'un internaute à cette question

Bonjour, c'est très louable de la part de l'internaute n°7 de défendre les intérêts des notaires car certains de ceux-ci en ont bien besoin.

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#680Question Bricolage : Chemin privé défoncé par le camion de l'entrepreneur
Bonjour,
J'ai commandé les travaux pour une piscine. Le terrassier est venu faire le trou et il a défoncé le chemin privé qui mène à la maison.
Le camion plein de terre s'est enlisé au 3ème passage, la pluie ayant été très dense et le chemin étant en partie en gravier et en béton.
Qui doit prendre en charge la remise en état du chemin ? L'entrepreneur ou moi ?
Il a déjà mis un camion de gravier mais ce n'est pas suffisant. On s'enfonce au passage. Je dois 1400 euros au terrassier, faut-il payer ?
Merci de me renseigner sur les différentes responsabilités.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour
Il me semble que le terrassier devrait réparer ce qu'il a défoncé. Il est d'ailleurs assuré pour ce genre de pépin. En plus, c'est dans son domaine de compétences.
Ce n'est tout de même pas vous qui l'avez obligé à passer là à ce moment précis ?
Art. 1384 du code civil : "On est responsable non seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde. (...)"
Cordialement.
JF

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour
Je confirme la réponse de JF. Le seul cas où ce terrassier n'aurait pas la charge de la réparation, c'est s'il vous avait fait signer au préalable une reconnaissance de risques incontournables de détérioration du chemin. Autrement dit, d'une sorte de force majeure.
Cordialement.

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#679Question Bricolage : Intoxication monoxyde de carbone ramoner cheminée chaudière
Bonjour, je viens de découvrir votre site. Il m'a l'air technique autant que rigoureux.
Voici mon problème :
- Je vis au 2ème, en qualité de Locataire, dans un petit immeuble de 4 étages ;
- Le Technicien via mon contrat d'abonnement a remis en marche notre chaudière, car ses capteurs ont fonctionné dès que la machine a détecté du monoxyde de carbone en grande quantité ;
- Il m'a vivement conseillé de faire ramoner la cheminée au dessus de la chaudière et le Ramoneur, après ramonage, s'est aperçu que notre évacuation, à l'intérieur de la cheminée des parties communes, correspondait avec le voisin du dessus ; en fait, aucun tuyau individualisé n'a été installé (non aux normes selon le Ramoneur) ;
- Or, notre Propriétaire et le Syndic m'affirment qu'on peut laisser comme ça, que ce n'est pas obligatoire, etc etc etc. ;
- J'ai fait revenir le Technicien de la chaudière qui a décelé une persistance de monoxyde de carbone, me conseillant de fermer la cuisine le plus souvent possible, afin que le dit gaz ne se propage pas dans le reste de l'appartement, mais il a, tout comme le Ramoneur, dit que l'installation n'était pas aux normes, contrairement à ce qu'avancent notre Syndic.
Merci infiniment de bien vouloir m'indiquer quelles sont les normes actuelles et, surtout, quelles sont les textes réglementaires à se procurer, télécharger et copier, afin que le Syndic et le Propriétaire soient mis devant le fait accompli et, surtout, qu'on installe un tuyau d'évacuation individualisé, car pour nous c'est très dangereux (le monoxyde de carbone est mortel).
J'attends votre réponse, la plus précise possible. A très bientôt.
Eric L.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, votre inquiétude mérite quelques points d'explications.
Tout d'abord comment le technicien a constaté la présence de CO et avec quel appareil a-t-il fait ses mesures ? Ensuite en immeuble ancien vous avez des conduits de cheminées en " schunt", ce qui explique qu'un seul conduit pour plusieurs appartements (votre dépanneur semble un peu juste en connaissances !) A-t-il vérifié la dépression de la cheminée ?
A-t-il vérifié si par hasard il n'y avait pas une hotte aspirante de raccordée sur cette cheminée ? A-t-il vérifié si vous n'avez pas une ventilation basse de bouchée ?
Je comprends votre inquiétude mais avant d'affoler tout le monde, par pitié prenez des gens compétents ce qui évitera de donner un discrédit sur notre profession.
G. B.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonsoir, hier j'ai proposé une solution que j'estimais sérieuse sur le fond, en l'occurrence de faire appel aux pompiers qui en cas de doute sérieux sont équipés de détecteurs qui en plus déterminent le taux exact de CO, donc vis à vis de cette démarche on ne pourra pas me condamner pour défaut d'assistance ; avec le CO, il faut mieux être exagérément prudent que l'inverse.
Ça coûte quoi ? Le déplacement d'un véhicule et d'une équipe avec son équipement adapté, c'est aussi estimable que les traitements pour bobologie que ces gens réalisent alors que ce n'est pas leur vocation première.
Réponse de Bricovidéo :
Bonjour,
Merci pour votre participation à notre forum, mais la proposition que vous avez donnée en expliquant comment simuler un malaise n'a pas été publiée car nous ne cautionnons pas ce type de pratique, car imaginez qu'un véritable incendie ou autre ait lieu au même instant, cela pourrait ralentir l'arrivée des secours.
Beaucoup de personnes se permettent d'appeler les pompiers, car ils ont oublié leurs clés à l'intérieur de leur domicile ou autres problèmes, qui n'ont rien à voir avec les secours.
Je ne suis pas une grande bricoleuse mais si j'oublie mes clés à l'intérieur de mon domicile j'appelle un serrurier et non pas les pompiers.
Cordialement, Brigitte, modératrice du forum litiges travaux.

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour chère Brigitte, mon grand-père disait ne mélangeons pas les serviettes et les torchons et ma grand-mère disait l'inverse, mais ça revenait au même.. autrement dit lorsque vous dîtes : "imaginez qu'un incendie (ce ne sont les mêmes moyens d'intervention), si j'oublie mes clés (l'exemple n'est en rien comparable), " Vous détournez le sujet, dans le cas précis qui nous intéresse, il s'agit d'une présomption d'intoxication, donc d'un risque sanitaire grave, il serait bien de s'assurer qu'il n'y a pas de diffusion de CO, non ? En refusant une vérification réalisée par un service public habilité à de tels contrôles, vous pouvez vous rendre complice de non-assistance à personne en danger, devant un tribunal ma réponse serait plutôt considérée positivement, la vôtre... Ce que je ne vous souhaite pas.. C'est aussi simple. Dans certains cas, la fin justifie les moyens, on dépasse bien évidemment le cadre du bricolage.. Je suppose qu'à nouveau ma réponse ne sera pas éditée. Cordialement.
Réponse de Bricovidéo :
Bonjour,
Pensez ce que vous voulez mais à mon avis personnel ce n'est pas le rôle des pompiers, ce n'est peut être pas les mêmes moyens d'intervention, mais en tout cas cela mobilise du personnel, les pompiers en manquent cruellement, et ce que je me permettais de vous reprocher dans ma réponse est le fait de donner tous les conseils permettant de simuler une intoxication au monoxyde de carbone.
Brigitte, modératrice du forum litiges travaux.

Réponse (4) d'un internaute à cette question

Bonjour chère Brigitte, ayant travaillé plusieurs années en relation étroite avec eux pour des formations spécifiques, je connais le problème de recrutement des pompiers, celui-ci n'est réel que dans les campagnes car dans les moyennes et grandes villes, celui-ci n'existe pas. Cordialement.

Réponse (5) d'un internaute à cette question

Bonjour Eric,
La proposition de l'internaute (3, 4, 5) me semble partir d'une volonté louable de rendre service. Mais je partage la position de la modératrice Brigitte.
Comme certains fidèles correspondants de ce site, tels que G. B. , je constate avec consternation que nous sommes aspirés dans la spirale de l'incompétence et du profit, le 2ème étant de plus en plus souvent proportionnel à la 1ère.
A partir de ce constat malheureusement réaliste, je pense qu'il nous faut donc utiliser tous les recours pour que ce soient les incompétents qui paient les conséquences de leur incurie plutôt que d'en renvoyer la charge à la collectivité et au contribuable.
Qu'il n'y ait pas de problème de recrutement dans les grandes villes c'est une chose. Que les pompiers soient compétents et outillés, qui le contesterait ? Mais qu'on soit obligé de simuler une intoxication au monoxyde de carbone pour obtenir ce que le chauffagiste, le propriétaire ou le syndic auraient dû assumer naturellement, je vous avoue que j'ai un peu de mal, moi aussi, à le concevoir.
Vous êtes locataire. Votre bailleur met votre vie en danger, semble-t-il. C'est lui qu'il faut mettre en demeure, avec fermeté, de résoudre le problème immédiatement. C'est à lui de vous mettre en relation le plus rapidement possible avec des interlocuteurs professionnels compétents.
Ceci a déjà été évoqué sur plusieurs questions (545, etc.)
Cordialement. JF

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#678Question Bricolage : Problème d'aération et danger monoxyde de carbone
Bonjour
Dans mon appartement, il n'y pas d'aération et un mauvais tirage de la cheminée, la fumée refoule.
Je respire continuellement du monoxyde de carbone = danger et l'agence immobilière ne fait rien.
Quels sont mes droits et où m'adresser ? Y a t-il un risque d'incendie ?
Merci de vos réponses.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, si vous respirez continuellement du monoxyde de carbone (CO) et que vous continuez de vivre, VOUS ETES TRES COSTAUD.
G. B.

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#677Question Bricolage : Entrepreneur et garantie décennale
Bonjour
La dalle du plancher chauffant de mon habitation se fissure en de nombreux endroits. L'entrepreneur ayant réalisé les travaux en 2003 a pu constater les faits.
Contacté l'an passé, il a demandé d'attendre le début de cette année pour entamer les démarches.
La lettre adressée avec accusé de réception a bien été remise en janvier.
Cependant, il refuse de communiquer les coordonnées de son assureur.
Comment puis-je passer outre pour entamer la procédure relative à la garantie décennale ?
Merci de vos réponses.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, si votre dalle est grande, il n'y a sûrement pas de joints de dilatation. Votre assureur devrait pouvoir obtenir les coordonnées de l'entrepreneur. JF vous conseillera.
G. B.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Ce n'est pas contre l'assurance que doit être engagée la procédure, mais contre l'entrepreneur.
Cela n'a donc pas d'importance que vous n'ayez pas les coordonnées de son assureur.
Mais ceci n'empêche pas qu'il faut toujours avant le début des travaux, exiger de l'entrepreneur la fourniture d'une attestation d'assurance en cours de validité et signée par l'assureur.
Cela évite, comme je l'ai déjà vu, de découvrir, en cas de problème, que l'entrepreneur n'est pas assuré et que de surcroît il a organisé son insolvabilité.

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour,
a priori, la procédure, c'est de mettre en demeure votre artisan par LRAR, de résoudre les désordres constatés (dont vous referez à nouveau un descriptif détaillé, en lui rappelant qu'il avait déjà été informé et vous avait demandé de retarder le déclenchement de la procédure à début 2009).
Dans cette lettre, vous pouvez lui donner un délai de 15 jours pour vous fournir une expertise et un échéancier précis de travaux.
Ajoutez que sans cela, vous serez dans l'obligation de saisir le justice.
S'il fait lui-même une remise en état satisfaisante, vous n'avez pas forcément besoin de le court-circuiter en contactant son assurance, mais encore faut-il qu'il prenne en charge rapidement et professionnellement votre problème.
Cordialement. JF

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#676Question Bricolage : Chaudière installée non conforme au devis
Bonjour à tous,
Voilà les faits :
A l'été 2008, suite à un devis, nous avons conclu une affaire en nous arrêtant sur un modèle de chaudière X. Qui a donc été installée l'été dernier.
Un autre professionnel en visite chez nous, vient de nous faire remarquer que le modèle installé ne correspond pas à celui dans le devis, c'est le modèle en dessous.
Nous avons pris contact avec l'entreprise nous ayant installé la chaudière qui doit revenir vers nous pour nous donner la suite des évènements.
Nous, nous comptons demander l'installation du modèle de chaudière initialement prévu.
En attendant ce retour, j'aimerai savoir quels sont mes recours au cas où ils ne veulent rien savoir ?
D'avance, merci de vos réponses.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Effectivement, ce n'est pas légal de livrer "le modèle au dessous", sans rien dire.
Il vous faut d'abord, bien entendu, élucider les différences techniques des 2 modèles, et ensuite trouver le compromis qui vous donnera la meilleure satisfaction (peut-être " l'installation du modèle de chaudière initialement prévu" mais il faut avoir la certitude que c'est la meilleure solution pour vous).
Ensuite, pour l'aspect légal, vous pourrez invoquer le fait qu'il y a eu "tromperie sur la qualité substantielle de la marchandise vendue" réprimée entre autres par l'article 1 de la loi du 1er août 1905.
Vous pouvez faire une petite recherche sur ce forum, à partir du mot clé "tromperie", vous trouverez diverses réponses où j'ai abordé ce sujet.
Cordialement. JF

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Dans votre cas il y a deux options à envisager, qui ne reposent pas du tout sur le même fondement juridique, d'où les deux questions suivantes : avez-vous réglé la facture et quel est le type de chaudière désigné dans celle-ci ?

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour et merci.
Pour l'instant, l'entreprise essaye de trouver une solution quitte à faire une modification sur celle qui nous a été livrée. L'entreprise est en contact avec le fabricant pour savoir ce qu'il est possible de faire.
Le modèle commandé était une Viessmann 333-F avec ballon de 130 litres + serpentin anti-calcaire et le modèle installé est celui avec un ballon de 86 litres sans le système anti-calcaire.
Le fabricant a été contacté pour savoir si le ballon de l'autre modèle peut être installé dans la nôtre, ce dont je doute, car elles ne font pas la même dimension.
Autre question : si une telle modification est possible, quid de la garantie constructeur et surtout, une entreprise acceptera t-elle d'assurer la maintenance sur un modèle "customisé" ?
On nous a évoqué l'éventualité d'installer un système de filtre du calcaire à part mais je ne veux pas d'une "verrue" sachant qu'ensuite il faut acheter/changer les cartouches de ce type de système.
Je pense que l'entreprise veut éviter de devoir faire l'échange car cela est très couteux pour elle : commande d'une autre chaudière, installation, récupérer l'ancienne. Puis quoi faire de l'ancienne ? Etc.
Que me conseillez-vous ?
Merci de vos réponses.

Réponse (4) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Il me semble qu'il y a de telles différences entre ce que vous aviez commandé, et ce qu'on a essayé de vous refiler en douce (apparemment), que vous ne devriez pas accepter un bricolage. Une chaudière, ça se démonte. Votre entreprise n'a pas à vous faire payer son déficit d'organisation (je n'ose pas dire sa perversité, accordons-lui le bénéfice du doute). C'est couteux pour elle, certes, mais elle est assurée pour ça, alors que vous, vous ne l'êtes pas pour les conséquences de cette erreur.
Je pense que G. B. vous donnera un avis très technique, d'autant plus qu'il adore ces professionnels qui ternissent chaque jour l'image de sa profession ! Quant à l'élément juridique pour vous battre si ça coince, je vous l'ai indiqué plus haut en (1). Bon courage, et tenez bon !
Cordialement. JF

Réponse (5) d'un internaute à cette question

Bonjour
"Dans votre cas il y a deux options à envisager qui ne reposent pas du tout sur le même fondement juridique, d'où les deux questions suivantes : avez-vous réglé la facture et quel est le type de chaudière désigné dans celle-ci ? "
Oui, nous avons réglé la facture sur laquelle est portée la référence, mais incomplète, de la chaudière : celle prévue est une Vitodens 333-F WR3C, celle installée est une 333-F WS3C. Sur la facture figure uniquement la référence Vitodens 333-F.
Pour l'instant, l'entreprise semble de bonne volonté et essaye de trouver une solution mais j'anticipe au cas où ça s'envenime.
Cordialement.

Réponse (6) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Je vois l'ambigüité ; -) C'est comme pour une voiture de base et son option turbo de course ! Si on oublie la fin de la référence... Si l'entreprise semble de bonne volonté, c'est sans doute qu'elle reconnait avoir agi avec légèreté...
A quel moment avait été définie la notion "ballon de 130 litres + serpentin anti-calcaire" ? Est-ce qu'elle apparait en clair dans le devis ou dans l'offre que vous avez signé bon pour commande ?
Cordialement. JF

Réponse (7) d'un internaute à cette question

Bonjour
En fonction des éléments que vous donnez, il apparaît que la distinction entre les deux modèles ne peut se faire pour un profane qu'à partir de la seconde partie de la référence.
Il s'ensuit que le fait de ne pas mentionner sur la facture cette seconde partie de référence constitue, sinon un commencement de preuve, du moins une présomption de dissimulation et donc de mauvaise foi.
Il est donc possible de soutenir qu'en l'espèce, il y a eu une manœuvre dolosive de la part de l'entrepreneur.
Sur le plan technique, bien que je ne sois pas un spécialiste, je suivrais l'avis de JF et je crois GB : refus d'une adaptation de la chaudière.
Cordialement.

Réponse (8) d'un internaute à cette question

"A quel moment avait été défini la notion "ballon de 130 litres + serpentin anti-calcaire" ?
Est-ce qu'elle apparait en clair dans le devis ou dans l'offre que vous avez signé bon pour commande ?"
Sur le devis, il n'est fait mention que du type 333-F et d'un ballon de 130L ce qui, d'après le catalogue Viessmann, correspond au modèle WR3C.
Sur la facture seule la mention 333-F apparaît.
Donc en bref vous me conseillez de réclamer l'installation du bon modèle ou de demander une compensation financière ?

Réponse (9) d'un internaute à cette question

Bonjour, voici mon grain de sel : pourquoi avez-vous choisi le modèle initial ?
C'est parce qu'il répondait à vos besoins ! Le modèle monté ne correspond pas aux caractéristiques de celui du devis, pourquoi tergiverser ?
Pour rendre service à cette société qui a tenté de vous gruger ? Vous êtes bien bon !
Bien que le dol (artifice pour tromper) ne soit pas prouvé, JF vous a fourni suffisamment d'arguments pour obtenir gain de cause, si vous le voulez réellement.

Réponse (10) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Je vous confirme que je suis en phase avec l'internaute (9).
Si vous aviez choisi un modèle pour sa fonctionnalité précise, vous avez tous les éléments pour exiger qu'il soit installé.
A la question : "vous me conseillez de réclamer l'installation du bon modèle ou de demander une compensation financière ?" vous seul pouvez répondre.
La seule remarque que je peux encore faire à ce stade, c'est qu'une compensation financière ne remplacera jamais une fonctionnalité insuffisante... et ça, c'est une chose que vous seul pouvez savoir, c'est donc à bien réfléchir.
Vous êtes dans votre droit, l'entreprise a fait une faute... à vous d'exiger ce qui est le plus satisfaisant pour vous.
Cordialement. JF

Réponse (11) d'un internaute à cette question

Tout est bien qui finit bien. La chaudière initialement prévue a bien été installé il y a 2 mois sans besoin de hausser le ton... Bon, ils doivent me faire suivre la documentation qu'ils ont oublié de m'envoyer...

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#675Question Bricolage : Construction cheminée extérieure sans autorisation
Bonjour. Un voisin vient de construire une cheminée extérieure moins haute que notre immeuble et sans autorisation. En a-t-il le droit ? Merci de vos avis.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour
Voici des éléments pour votre problème :
La hauteur des conduits de cheminée est réglementée par l'article 53 du Règlement Sanitaire Départemental, qui mentionne que les conduits de fumée doivent être réalisés conformément aux arrêtés du 2 août 1977 et du 22 Otobre 1969 voir Journal Officiel des 24 août 1977 et 30 Octobre 1969.
Cette hauteur doit être supérieure de 0,40 mètre de tout obstacle situé dans un rayon de 8 mètres autour du conduit (notamment de tout faîtage de bâtiment, y compris ceux du corps de bâtiment comportant le conduit).
Le Règlement Sanitaire Départemental étant applicable par les maires, conformément à l'article L1421-4 du code de la Santé Publique, il leur appartient, indépendamment d'autres règlementations (notamment celle concernant l'urbanisme) de vérifier ce point et de le faire respecter le cas échéant. Cordialement.
G. B.

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#674Question Bricolage : Toiture mitoyenne couvre cave du voisin doit il payer les travaux
Bonjour, je suis propriétaire d'une maison de bourg dont le toit est en fibrociment. Il est à changer.
Sous ma maison, il y a une cave qui appartient à mon voisin, elle représente 80% de la surface au sol de la maison.
Est-il concerné par la réfection du toit et doit-il en payer une partie ? Merci pour vos conseils.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, lorsque votre voisin fait des travaux d'aménagement ou de réparation dans sa cave, est-ce qu'il vous fait participer aux frais ?
G. B.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour, dans ce cas le toit protège aussi l'intégrité de la cave du voisin, posez la question à un notaire.

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Bonjour
Oui, mais j'ignore jusqu'à quelle limite. Cordialement.

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#673Question Bricolage : Norme tubage cheminée pour poêle à bois
Lors du tubage de ma cheminée (180 souple) pour un poêle à bois, l'installateur a fait une erreur de mesure et le tube était trop court. Il a raccordé le poêle et le tube à l'aide de manchons.
Après 4 mois d'utilisation, le conduit était bouché, l'installateur accuse l'humidité du bois. La pose peut elle être mise en cause ? Merci.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, un tubage doit être continu sur sa longueur et ne pas posséder de raccord. Votre installateur est en faute. Il est assuré, il recommence son travail.
G. B.

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#672Question Bricolage : Manque un article dans devis
Bonjour,
Nous avons renégocié le devis pour la réfection des fenêtres de notre villa.
La société nous a proposé de changer de type de fenêtres (moins chères). Au passage une fenêtre a été oubliée.
Nous nous sommes entendus pour le montant total final. A la réception, une fenêtre manque. Pouvons-nous demander à la société de respecter les quantités prévues au premier devis ? Merci de vos réponses.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Il faudrait voir comment sont libellés les 2 devis. Pouvez-vous nous en mettre une copie ici ? JF

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#671Question Bricolage : Devis du maçon non respecté
Bonjour,
J'ai demandé à une entreprise de maçonnerie de me faire un devis pour une chape flottante dans une grange destinée à devenir une salle à manger avec un chauffage basse température à eau.
Le devis signé pour accord contradictoire prévoyait une chape de 10 à 12 cm d'épaisseur en béton fibré avec 4 cm de polystyrène et film polyuréthane sur terre-plain et 2 cm de polystyrène en périphérie des murs. En final :
Cette dalle présente un défaut de planéité de 4,50 cm d'où l'impossibilité de la pose d'un plancher chauffant à eau et pas assez de hauteur de réservation pour faire un ragréage.
Seulement 2 centimètres de polystyrène en terre plain au lieu des 4 cm prévus au devis.
Pas de polystyrène en périphérie des murs au lieu des 2 cm prévus au devis.
Quelle procédure peut-être envisagée dans la mesure où cet artisan refuse de casser et de refaire la chape ?
Une procédure en référé ou autre, peut-elle être rendue en ma faveur ou dois-je accepter cette chape effectuée sans respect du devis et payer la facture ?
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Je suis moi même entrepreneur et au vu des faits il semble que vous soyez tombé sur un des nombreux maçons qui ne pense qu'à prendre de l'argent au client et qui n'ont pas élaboré au préalable le travail avant de l'avoir exécuté d'où l'incompétence de celui-ci à cause de son manque d'assiduité.
Solution si cela est possible, retenu du solde, assurance + expert avec devis du maçon, et demandez lui de faire fonctionner sa garantie décennale (un bon maçon est censé pouvoir vous expliquer et vous proposer des solutions).
Pour ma part je ferais une retenue de 25 % sur le devis et j'exigerai qu'il me trouve une solution à ses frais bien sûr. Désolé de ne pas pouvoir vous éclairer d'avantage. Courage il y a des choses beaucoup plus graves.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour
Ces travaux ne sont pas conformes au contrat qui vous lie avec l'artisan. Refusez de les réceptionner, ne payez pas la facture.
Envoyez une lettre recommandée avec accusé de réception afin de notifier -par écrit- la liste des malfaçons constatées :
- défaut de planéité hors tolérance (le DTU autorise 5 mm de flash sous la règle de 2 m ET 2 mm sous la règle de 20 cm pour des surfaces soignées),
- défaut d'isolation en partie courante,
- absence d'isolation périphérique.
Précisez que vous refusez de réceptionner l'ouvrage en l'état et demandez à l'entrepreneur de quel façon il compte reprendre les défauts constatés.
Enfin, précisez que vous voulez une réponse sous 8 jours maximum sur les mesures qu'il envisage.
Sans résoudre votre problème, cet écrit aura le mérite d'exister si d'aventure il faut lancer une procédure juridique.
Dans la discussion amiable qui devrait suivre (si l'entrepreneur est intelligent), essayez de négocier un important rabais concernant les isolants. Même si d'un point de vue thermique ce n'est pas le top, ce n'est pas non plus un drame.
En ce qui concerne le défaut de planéité, exigez un ponçage des bosses + un ragréage GRATUITS afin de corriger le défaut. Je ne comprends pas pourquoi cela serait impossible (les produits de ragréage de sol sont faits pour réaliser des recharges de 3 à 20 mm d'épaisseur). Cordialement.
np

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#670Question Bricolage : Règles évacuation chaudière ventouse en immeuble
Bonjour,
Après 3 heures de recherches, j'en suis exactement au même point parce que personne n'arrive à me donner une réponse claire pour un problème qui me semble important.
Résumé de la situation :
Je vis dans un petit immeuble comprenant 5 appartements locatifs, tous équipés de chaudières à ventouse avec évacuation horizontales.
Du côté de la rue, cela fait donc deux évacuations parfaitement alignées l'une au dessus de l'autre, à exactement 1 mètre de l'alignement des fenêtres (dont la mienne au dessus).
Mon évacuation (appartement au dernier étage) est évacué par le toit. Cela fait donc deux chaudières qui éjectent leur monoxydes sous ma fenêtre et qui selon le gré du vent vont soit chez moi, soit dans les fenêtres des maisons adjacentes.
Par ailleurs, je mentionne également que les évacuations d'air des appartements (hors chaudière, les simples aérations dans les murs) sont à 50 cm à droite des fenêtres, donc à 1m50 à 2m max, ce qui n'exclue pas la possibilité qu'une partie des rejets puissent rentrer dans l'appartement. En tout cas, visuellement, de l'extérieur, on voit clairement les fumées frapper ma fenêtre et celle du voisin adjacent.
Également, mais je ne peux pas le prouver, ce qui m'a poussé à m'inquiéter, c'est d'apprendre que mon ancienne voisine de palier a fait plusieurs malaises, avant de déménager, après être restée deux mois seulement. Je n'arrive plus la retrouver car je ne sais pas son nom, ses coordonnées, ni ou elle est partie, et comme je suis en contentieux avec la propriétaire (à cause des évacuations), elle ne m'aidera pas...
Après recherches, voici les points que j'ai pu relever, qui sont en totale contradiction les uns avec les autres :
- Arrêté du 29 oct 1969 stipule que l'évacuation doit se situer 40cm au dessus du fait du toit, et un autre arrêté stipule que le propriétaire doit fournir un logement non dangereux et décent.
- Gaz de France, reconnait le problème mais ne veut pas prendre de risque, me recommande de voir avec le dépanneur de gaz.
- La CNL (Commission Nationale des Locataires) ne veut pas prendre de risque non plus, et me dis EN PLUS que ceci est normal et qu'on ne peut pas installer des cheminées partout ! Et pour finir me recommande de voir avec le dépanneur.
Maintenant, j'aurai bien du mal à faire confiance à un dépanneur qui m'a été imposé. En effet, lors de mon dernier entretien je suis passé par une entreprise (j'ai même fait un contrat d'entretien) et la propriétaire fait venir une autre entreprise pour faire son propre devis (ce qui est respectable) mais je pense qu'ils s'entendent très bien, ce qui pourrait sous entendre un éventuel "arrangement".
Pour conclure, et pour enfin poser ma question, quelqu'un pourrait-il m'aider en fonction de ces éléments à me dire quels sont mes droits ? Est-ce que cette situation est réellement normale ou est-ce que ceci est réellement dangereux ?
Merci beaucoup si vous parvenez à me diriger car j'ai l'impression que dans notre pays si social, tout le monde se renvoie la balle et c'est très difficile d'avoir des réponses claires car personne n'ose se mouiller.
Le comble d'une démocratie, mais ceci n'est que mon point de vue personnel.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, pour la réglementation des ventouses, voici quelques renseignements :
- la distance minimum de l'axe de l'orifice d'évacuation des gaz brûlés à toute ouverture est de 0,40 m
- la distance minimum de l'axe de l'orifice d'évacuation des gaz brûlés à tout autre orifice de ventilation est de 0,60 m
- la distance entre 2 ventouses est de minimum 0,60 m
Pour ce qui concerne la hauteur des conduits sur le toit, les ventouses ne sont pas concernées puisqu'elles sont dans un flux forcé. De toute façon ces chaudières ont étés posées avec normalement un certificat de conformité et de ce fait sont dans les règles. Je ne vois pas où GDF reconnait l'erreur, pour moi il n'y en a pas.
J'essaie d'être social dans mon pays et je ne renvoie la balle à personne dans la mesure où je suis certain de mes propos et j'ose me mouiller.
G. B.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour. La réglementation impose que la sortie de ventouse soit placée à au moins 0,4 m de toute baie ouvrante et à au moins 0,6m de tout orifice d'entrée d'air de ventilation (réf. DTU 61-1 et arrêté du 2 août 1977).
Mais la réglementation est établie sans préjudice du droit des tiers, ce qui signifie que si vous êtes victime d'un trouble anormal de voisinage, votre plainte sera recevable.
Dans un premier temps vous devriez saisir le Préfet en lui exposant votre problème et en lui demandant de dépêcher un Inspecteur de la D. D. A. S. S pour procéder à un contrôle sanitaire. S'il accède à votre requête, je vous indiquerai par la suite la procédure à mettre en œuvre.

Réponse (3) d'un internaute à cette question

Je vous conseille de vous mettre en rapport avec l'UFC Que Choisir le plus proche de chez vous et/ou de contacter la DDE.

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#669Question Bricolage : Locataire régulateur de chauffage est mal placé
Bonjour, je demeure près des Vosges depuis 2008-mon thermostat est fixé dans ma salle de bains juste à côté de la chaudière - pour bénéficier d'un chauffage suffisant dans les autres pièces dont la principale salon salle à manger pour une superficie 30 m2 -je dois surchauffer la salle d'eau pratiquement inoccupée d'où perte d'énergie - pour économiser j'utilise l'horloge pour un chauffage nuit et jour - ma propriétaire est au courant et m'a fait savoir que les précédents locataires se sont contentés de cette installation - ou dois-je m'adresser pour faire rétablir la pose du thermostat à la place qui lui revient - merci pour votre réponse.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, la personne qui a posé ce thermostat n'était pas très "fute fute " et confirme l'incapacité croissante des installateurs !
Dans un premier temps, baissez le chauffage de votre salle de bain et mettez votre thermostat assez haut, réglez votre chaudière sur une température de 45/50 °C et augmentez selon vos désirs.
Pour la pose au bon endroit du thermostat d'ambiance, appelez plutôt un électricien.
Pour le litige avec votre propriétaire, JF vous donnera la marche à suivre et vous posera les réponses au bon endroit (pas à côté de la chaudière !)
G. B.

Réponse (2) d'un internaute à cette question

Bonjour,
Je vous trouve en pleine forme G. B. ! C'est vrai qu'on a intérêt à garder le moral, quand on voit la collection de stupidités auxquelles sont affrontés nos chers internautes !
Votre suggestion, G. B. : baisser le radiateur de la salle de bains et monter le thermostat, ça me parait excellent : la température demandée n'étant pas atteinte ici, la chaudière devrait continuer à tourner, ce qui aurait pour effet d'amener les autres pièces à température correcte. Mais, au point où on en est,... le radiateur de la salle de bains a-t-il une vanne qui permet le réglage ? !
Pour le déplacement du thermostat, je ne vous le conseille pas, c'est un job qui est normalement à la charge du propriétaire, il pourrait vous le reprocher et vous demander à la sortie une remise en conformité !
Certes, le propriétaire doit vous assurer la jouissance "paisible" du logement (vous pouvez regarder les questions 581,137, etc. où j'ai abordé ce sujet) mais là, à mon avis, votre cas n'est probablement pas assez "grave", il vous faut donc essayer de ruser autrement. Cordialement. JF

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#668Question Bricolage : Non conformité puissance insert
Bonjour à tous, je viens de me faire poser un insert (ou foyer fermé comme ils disent) dans une cheminée existante, et depuis nous avons rappelé l'artisan car le chauffage montait à maxi 19.5 proche de la cheminé, en vain.
Nous venons de nous apercevoir que l'étiquette qu'ils ont laissé sur le foyer avec les caractéristiques, indique une puissance de 7 kW alors que sur la notice il est indiqué 9 kW, que peut-on faire ?
Peut-on demander l'annulation de la vente pour non conformité de l'objet ?
Doit-on faire appel à un huissier pour constater ? Merci beaucoup de vos réponses d'avance. A bientôt.
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, dans un premier temps demandez par LRAR quelle puissance a été installée par rapport à votre devis et votre facture.
G. B.

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#667Question Bricolage : Hauteur définie pose hotte aspirante
Bonjour. A quelle hauteur doit-on poser une hotte aspirante par rapport à une plaque cuisson ?
Notre réponse

Bonjour, Nous dupliquons cette question dans le forum electromenager.
Cordialement.

Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, une hauteur comprise entre 60/80 cm pour être efficace.
G. B.

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#666Question Bricolage : Distance sortie évacuation chaudière toit mitoyen
Bonjour, Monsieur Bricovidéo, merci pour votre site.
Notre voisin a installé une chaudière fioul, dont la sortie est à proximité de notre toit.
Pourriez-vous m'indiquer S. V. P. si vous connaissez les distances et la hauteur autorisées ?
Notre toit est plus haut la sortie d'évacuation de la chaudière est au niveau de nos tuiles, 'Voir la photo ici).

Merci pour votre réponse. Bien cordialement. TATIENICOLE
Réponse (1) d'un internaute à cette question

Bonjour, voici des éléments pour votre problème :
La hauteur des conduits de cheminée est réglementée par l'article 53 du Règlement Sanitaire Départemental, qui mentionne que les conduits de fumée doivent être réalisés conformément aux arrêtés du 2 août 1977 et du 22 Otobre 1969 voir JO des 24 août 1977 et 30 Octobre 1969.
Cette hauteur doit être supérieur de 0,40 mètre de tout obstacle situé dans un rayon de 8 mètres autour du conduit (notamment de tout faîtage de bâtiment, y compris ceux du corps de bâtiment comportant le conduit)
Le Règlement Sanitaire Départemental étant applicable par les maires, conformément à l'article L1421-4 du code de la Santé Publique, il leurs appartient, indépendamment d'autre réglementation (notamment celle concernant l'urbanisme) de vérifier ce point et de le faire respecter le cas échéant.
G. B.

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